Livre numéro 2287
|   | Les cent ans du Musa Dagh |
Titre : | Les cent ans du Musa Dagh / auteur(s) : Yaïr AURON - Découvertes et nouveaux regards sur l’ouvrage "Les Quarante jours du Musa Dagh" et sur Franz Werfel |
Editeur : | SIGEST |
Année : | 2018 |
Imprimeur/Fabricant : | Imprimé dans l'Union Européenne |
Description : | 15 x 23 cm, 112 pages, couverture illustrée en couleusr |
Collection : | |
Notes : | |
Autres auteurs : | |
Sujets : | Génocide arménien -- Musa Dagh -- Israël |
ISBN : | 9782376040101 |
Bibliothèques : | Consultable à la Bibliothèque de la Cathédrale apostolique arménienne, Paris Catalogué à la Bibliothèque Nationale de France |
Prix : | 14,95 euros |
Achat possible sur : | Amazon |
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Commentaire :J’étais très jeune la première fois que j’ai entendu parler des « Quarante Jours du Musa Dagh», par Franz Werfel, et à l’époque cela ne m’avait pas affecté en profondeur. J’y suis revenu plus tard, quand j’ai commencé à étudier la question, fascinante et si complexe, des relations entre Juifs et Arméniens, avant, pendant et après les terribles génocides subis par les deux peuples au cours du XXe siècle. Cette fois, j’ai relu ce récit avec voracité et il a eu sur moi un effet puissant. Depuis lors, c’est devenu pour moi un livre de chevet. ... J’espère avoir contribué par ma démonstration à faire reculer l’acte criminel que constitue, sur le plan moral, la négation du génocide des Arméniens, crime que commet l’État d’Israël. Car c’est cette politique-là qui profane la mémoire et la signification de l’Holocauste, pour notre génération et pour la postérité. Yaïr Auron
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Livre numéro 2275
|   | Israël et le génocide des Arméniens |
Titre : | Israël et le génocide des Arméniens / auteur(s) : Yaïr AURON - Traduit de l'anglais par Aïda Tcharkhtchyan |
Editeur : | SIGEST |
Année : | 2017 |
Imprimeur/Fabricant : | Impr. en Union européenne |
Description : | 17 x 24 cm, 310 pages, couverture illustrée en couleurs |
Collection : | |
Notes : | Contient un choix de documents. - Index |
Autres auteurs : | |
Sujets : | Génocide arménien (1915-1916) -- Opinion publique -- Opinion publique -- Israël |
ISBN : | 9782376040026 |
Bibliothèques : | Consultable à la Bibliothèque de la Cathédrale apostolique arménienne, Paris Catalogué à la Bibliothèque Nationale de France |
Prix : | 19,95 euros |
Achat possible sur : | Amazon |
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Commentaire :La première partie de cette étude, « La banalité de l'indifférence », examine l'attitude de la communauté juive (le Yishuv) en Palestine (Eretz Yisrael), avant la création de l'État d'Israël en 1948, et celle des dirigeants sionistes sur les massacres commis par les Turcs contre les Arméniens au début du XXe siècle. L'étude poursuit un double but : informer le lecteur sur le génocide du peuple arménien et soulever des questions théoriques et philosophiques qui sont directement ou indirectement en relation avec le débat en Israël et dans le monde entier sur le concept de génocide, ainsi que sur le caractère unique de l'Holocauste en comparaison avec les autres exemples de génocide. La Deuxième Guerre mondiale et l'Holocauste, d'une part, et l'établissement de l'État d'Israël, d'autre part, ont fondamentalement modifié l'histoire des Juifs. Le peuple juif a vécu son plus grand désastre au cours de la guerre et trois ans après sa fin, il a été le témoin de la naissance de l'État juif. Dans la deuxième partie de ce livre, « La banalité du déni », sont étudiées les mesures israéliennes visant à saper les tentatives pour sauvegarder la mémoire des victimes arméniennes des atrocités turques. La nature même de notre recherche s'est notablement transformée. La banalité de l'indifférence est essentiellement une étude rétrospective historique, sociale et littéraire. La banalité du déni est une enquête politique et idéologique. L'analyse examine des discours, des écrits et les journaux personnels des chefs de la communauté, ainsi que l'héritage littéraire de cette période. L'étude des tentatives de déni par les institutions israéliennes et les figures dirigeantes de la politique, de la sécurité, ainsi que de l'élite universitaire et pour la « préservation de la mémoire » de l'Holocauste n'est pas simplement une analyse académique, elle a une considérable importance politique, à la fois symbolique et tangible. Non moins importantes sont les considérations éthiques et morales, car les conduites regrettables ne sont pas le résultat de la passivité ou de l'anxiété, comme nous le montrons dans « La banalité de l'indifférence », mais relèvent souvent de la poursuite calculée d'intérêts douteux. |
Livre numéro 2222
|   | Sauveurs et combattants - La famille Aznavour et « L’affiche rouge » |
Titre : | Sauveurs et combattants - La famille Aznavour et « L’affiche rouge » / auteur(s) : Yaïr AURON - Compassion et héroïsme à Paris sous l’Occupation nazie |
Editeur : | SIGEST |
Année : | 2016 |
Imprimeur/Fabricant : | En Union européenne |
Description : | 15 x 21 cm. 148 pages, couverture illustrée en couleurs |
Collection : | |
Notes : | Traduit de l'hébreu par Shaï Sendik |
Autres auteurs : | Charles AZNAVOUR [préfacier] - |
Sujets : | Seconde Guerre mondiale -- Résistance -- Aznavour |
ISBN : | 9782917329894 |
Bibliothèques : | Consultable à la Bibliothèque de la Cathédrale apostolique arménienne, Paris Catalogué à la Bibliothèque Nationale de France |
Prix : | 17,00 euros |
Achat possible sur : | Amazon |
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Commentaire :Yaïr Auron étudie depuis des décennies les relations — qui lui sont chères — entre les Juifs et les Arméniens, d’autant plus qu’à ce jour l’État d’Israël ne reconnait pas le génocide des Arméniens. Écrit au cours de l’année 2015, avant les commémorations du centenaire du génocide, cet ouvrage nous ramène à la période de la France occupée, où il relate l’épopée de la famille Aznavourian. Charles Aznavour dans sa préface souligne : « Ce que nous avons fait, pendant l’Occupation, nous semblait être la chose la plus naturelle du monde, au point que petit à petit nous avons fini par oublier l’engagement de nos parents, jusqu’au jour où Yaïr Auron est venu nous en parler. » Et d’ajouter : Yaïr est un homme bon, un saint homme. En écrivant cet ouvrage, il nous a révélés à nous-même, il est entré dans l’histoire des Arméniens et n’en sortira plus. D’une certaine manière, il devient à son tour ce que les Juifs nomment un « Juste ». Charles Aznavour |
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