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Association Culturelle Arménienne de Marne-la-Vallée (France)

Martine BATANIAN
( n. 1976 )

L'auteur

Martine BATANIAN --- Cliquer pour agrandir
Naissance en 1976 à Victoriaville (Québec, Canada).

Née au sein d’une famille d’origine arménienne, Martine Batanian habite et travaille à Ottawa depuis une dizaine d’années. Elle écrit des nouvelles littéraires depuis son adolescence.

Titulaire d’un baccalauréat en journalisme et d’une maîtrise en création littéraire de l’Université du Québec à Montréal (Prix Hurtubise HMH 2008), Martine a aussi publié des nouvelles dans les revues L’Oiseau-Tigre, Art le Sabord, L’Inconvénient, XYZ La revue de la nouvelle, Virages et Stop. Elle a fait paraître, aux éditions Marchand de feuilles, le recueil de nouvelles Embâcle en 2008 (finaliste au Prix littéraire Le Droit et au Prix du livre d’Ottawa), puis, en 2014, le roman Clinique (prix littéraire Émergence de l’AAOF, finaliste au Prix du livre d’Ottawa et au Prix littéraire Trillium).

Après avoir été journaliste indépendante, elle travaille désormais comme rédactrice-réviseure et traductrice. Elle offre des ateliers de création littéraire aux adolescents et aux adultes.

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Livre numéro 2484
Martine BATANIAN --- Cliquer pour agrandir Embâcle
 
Titre : Embâcle / auteur(s) : Martine BATANIAN - Nouvelles
Editeur : marchand de feuilles
Année : 2008
Imprimeur/Fabricant : Transcontinental Metrolitho, Québec, Canada
Description : 11 x 17,5 cm, 126 page, Table des matières
Collection :
Notes :
Autres auteurs :
Sujets : Nouvelles -- Déracinement -- Géocide arménien
ISBN : 9782922944471
Bibliothèques : Consultable à la Bibliothèque de la Cathédrale apostolique arménienne, Paris
Prix : 17,90 euros

Commentaire :

Les nouvelles d'Embâcle abordent le déracinement et la perte identitaire, le génocide arménien et les fantômes qu'on interpelle pour se retrouver et à qui il faut un jour dire adieu. Si certains personnages ont réussi à surmonter l'embâcle qui paralyse leur vie, ils doivent aussi apprendre à reconstruire un lieu, un lien, un récit qui soit le leur pour ne pas être envahis, possédés à nouveau par l'esprit du passé. Ainsi ils arriveront à toucher la lumière, d'abord du bout des doigts, à dire joie.

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