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Association Culturelle Arménienne de Marne-la-Vallée (France)

Robert ARNOUX
( n. 1954 )

L'auteur

 
Naissance le 18 mars 1954.

Robert Arnoux est ancien élève de l'École nationale des langues orientales. Il est membre correspondant de l'Académie de Marseille et grand reporter au quotidien "La Provence".

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Livre numéro 831
Robert ARNOUX --- Cliquer pour agrandir Les Naufragés de la Terre promise - Arménie 1947
Titre : Les Naufragés de la Terre promise - Arménie 1947 / auteur(s) : Robert ARNOUX -
Editeur : Edisud
Année : 2004
Imprimeur/Fabricant : 46-Cahors : Impr. France Quercy
Description : 218 p. dont 44 p. de pl. : ill., couv. ill. ; 24 cm
Collection :
Notes : Bibliogr. p. 215-216
Autres auteurs :
Sujets : Migration de retour -- Arménie -- 1945-1990
ISBN : 9782744904462
Bibliothèques : Consultable à la Bibliothèque de la Cathédrale apostolique arménienne, Paris
Catalogué à la Bibliothèque Nationale de France
Prix : 20,00 euros
Achat possible sur : Amazon

Commentaire :

6 septembre 1947, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les Arméniens de toutes les terres de l’exil et qui s’étaient particulièrement établis en France dans les années 20, sont rapatriés vers l’Arménie soviétique. Ils sont des dizaines de milliers à répondre à l’appel de Staline et à tout abandonner pour rallier leur patrie mythique. Leur désillusion sera à la mesure de l’espérance qu’ils avaient nourrie. L’auteur fait intervenir de nombreux témoins issus des générations qui se sont succédé dans cet exil ; témoignages souvent bouleversants de ce que fut la vie quotidienne de ces Français affamés, piégés, et dont les rêves de retour étaient sévèrement punis. La Terre promise est une Terre de cauchemar. Comment parviennent-ils à survivre ?
Dans cet ouvrage, Robert Arnoux éclaire un point d’Histoire qui à ce jour demeure encore mystérieux : l’épisode étrange de la visite de Christian Pineau, ministre des Affaires Étrangères à Erevan en mai 1956. C’est le début d’un long processus au terme duquel les premiers visas de retour seront accordés. Le cauchemar ne prendra fin qu’au bout de vingt ans.

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