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Association Culturelle Arménienne de Marne-la-Vallée (France)

Ariane DELACAMPAGNE

L'auteur

Ariane DELACAMPAGNE --- Cliquer pour agrandir
Ariane Delacampagne, née Ateshian, est une photographe libanaise d’origine arménienne.

Diplômée de l'Université américaine de Beyrouth, a travaillé comme journaliste à télévision libanaise en langue française, puis aux États-Unis sur les chaînes CBS et ABC.

Son travail photographique sur la communauté arménienne de Bourj Hammoud a fait l’objet d’expositions individuelles à Barcelone (2007), à Beyrouth (2010) et à Paris (2011). Elle vit et travaille à New York.

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Livre numéro 2054
Ariane DELACAMPAGNE --- Cliquer pour agrandir Portraits d'une survie, Les Arméniens de Bourj Hammoud
Titre : Portraits d'une survie, Les Arméniens de Bourj Hammoud / auteur(s) : Ariane DELACAMPAGNE - Portraits of survival : the Armenians of Bourj Hammoud ; [texte et photographies d'] Ariane Delacampagne
Editeur : Somogy
Année : 2014
Imprimeur/Fabricant : Imprimé en Italie
Description : 24 x 27 cm, 160 pages, couverture illustrée
Collection : Essai Somogy
Notes : Bilingue Français-Anglais
Autres auteurs : Lévon NORDIGUIAN [préfacier] -
Sujets : Arméniens -- Moeurs et coutumes -- Liban -- Beyrouth (Liban ) -- 1990-.... -- Photographies
ISBN : 9782757208175
Bibliothèques : Consultable à la Bibliothèque de la Cathédrale apostolique arménienne, Paris
Catalogué à la Bibliothèque Nationale de France
Prix : 25,00 euros
Achat possible sur : Amazon

Commentaire :

Bourj Hammoud, mélange florissant de commerces modernes et de métiers traditionnels au nord-est de Beyrouth, abrite une communauté dynamique d’Arméniens, commerçants, artisans et artistes, jeunes ou âgés. En moins d’un siècle, le simple camp de toile, peuplé de réfugiés qui avaient fui la Turquie en 1915, s’est transformé en centre économique urbain, grouillant d’activité.

C’est sur ce quartier qu’Ariane Delacampagne a choisi de fixer sa caméra. Au fil des ans, elle a noué des liens avec les personnages marquants qui y habitent et y travaillent, tailleurs, cordonniers, brodeuses et horlogers, bijoutiers ou sertisseurs. Le résultat est un portrait inoubliable du courage, de l’esprit et du patrimoine qui constituent l’âme de Bourj Hammoud.


De l'auteure

Ce livre n'aurait pas pu voir le jour sans Christian, mon cher époux trop tôt disparu, qui m'avait encouragée et avait vu naître le projet.
Je tiens également à remercier mes parents, Janet et Agop, qui ont été d'un dévouement inlassable. Je dois rendre hommage à mes grands-parents, qui ont été déracinés plusieurs fois : Marie et Krikor Buchakjian, avec lesquels j'ai grandi, étaient originaires d'Aïntab (Turquie) et avaient fui à Alep (Syrie) avant de s'installer au Liban. Alice et Ardachès Ateshian, originaires de Dôrtyol et de Yozgat, qui avaient d'abord fui la Turquie puis Alexandrette pour finir par s'établir au Liban.
Je remercie également mon amie d'enfance, Houry Kurdjian Karajerjian, qui m'a accompagnée de nombreuses fois à Bourj Hammoud, Arpi Mangassarian qui travaille à la municipalité et défend ardemment les artisans, et tous les historiens que j'ai contactés, y compris Carla Eddé, Raymond Kevorkian, Vahé Tachdjian et Claude Mutafian. Je remercie tout particulièrement Lévon Nordiguian, qui a eu la gentillesse d'écrire la préface ; tous ceux qui ont exposé mon travail sur Bourj Hammoud au fil des ans, Jany Bourdais, Pierre Reynaud et Olivier Dupif. Je remercie également ma famille et mes amis, y compris Randa Abousleiman, Paul et Maria Audi, Sawsan Awada-Jalu, Brigitte Boulad, Carla Chammas, Danièle Cohn, Valerie Gladstone, Dominique Gutherz, Gilda Kupelian et Isabelle Kortian, mes collègues à New York, trop nombreux pour les mentionner tous, qui m'ont prodigué des encouragements et des conseils au fil des ans. Je tiens également à remercier Molly Stevens, qui a revu avec une patience infinie la version anglaise du livre, et Jana Martin, qui l'a éditée avec beaucoup de doigté. Je voudrais également remercier sur le plan technique Hashem Eaddy à New York et Olivier Dupif et son équipe à Paris ; et rendre hommage à l'équipe de Somogy à Paris.
Je tiens enfin à dire que ce livre n'aurait pas pu voir le jour sans la gentillesse et l'accueil des Arméniens eux-mêmes et des habitants de Bourj Hammoud en particulier, qui ont bien voulu poser devant mon objectif et répondre à mes questions au fil des ans.


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